La vérité

LA VÉRITÉ : UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

Ce que nous croyons est, pour nous, une question de vie ou de mort !

De très nombreux exemples dans la vie peuvent illustrer cette vérité, mais prenons-en un seul : celui d’une certaine croyance scientifique ayant produit, en fin de compte, la mort.
Il y a de cela de nombreuses années, les médecins croyaient fermement que les maladies étaient provoquées par un agent dans le sang, et c’est bien vrai.

Toutefois, ils ne savaient pas encore comment soigner cette anomalie sanguine. Aussi pensèrent-ils qu’il serait judicieux de pratiquer chez le malade une saignée qui, en éliminant le plus de sang possible, éliminerait en même temps la maladie.

Ce fut le traitement infligé par un médecin à George Washington, le premier Président des États-Unis. En effet, dans sa vieillesse, Washington avait attrapé une maladie. Le médecin chargé de le soigner voulait sauver la vie de son illustre patient en pratiquant une saignée sur lui mais, en fait, il n’avait réussi qu’à précipiter sa mort ! Voilà où peut mener la foi dans une erreur, ce que confirma la Parole en affirmant :

« Tel chemin paraît droit à quelqu’un mais, en fin de compte, c’est le chemin de la mort » (Proverbes 14 : 12).

Cela se produit aussi dans le domaine spirituel, car l’on peut croire en toute sincérité une vérité, qui n’en est en fait pas une et qui conduit, à coup sûr, à la mort éternelle.

C’est par rapport à cette tragédie que le Seigneur Jésus, dans Sa grande compassion, avait conseillé Ses contemporains en ces termes :

« Si vous ne croyez pas que je suis, vous mourrez dans vos péchés » (Jean 8 : 24).

IV. OÙ TROUVER LA VÉRITÉ ?

Comment donc s’assurer que l’on détient la vérité ?

Autrefois, les Africains par exemple se référaient aux traditions de leurs ancêtres pour savoir ce qu’ils devaient croire, car dans les sociétés africaines le concept de vérité est lié à des histoires et à des mythes concernant la vie et l’expérience humaines, qui se transmettent par la suite d’une génération à l’autre par les anciens.

Dans l’Afrique moderne d’aujourd’hui, de nouvelles voix s’élèvent et, notamment, celles des politiques autant que des élites, tous domaines de connaissance confondus, qui disent ce qu’il faut croire.

C’est aussi ce qui se passe dans le domaine spirituel où, en principe, chaque religion a ses propres écrits sacrés, et où de très nombreuses personnes se déclarent prophètes de Dieu.

Qui a raison ? Existe-t-il un moyen sûr de découvrir la vérité, afin de ne point subir la mort éternelle, en dépit de sa bonne foi ?

Jésus-Christ, pour ce qui Le concerne, a pu un jour déclarer à Ses contemporains :

« Voici pourquoi je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité » (Jean 18 : 37).

Avant cela, Il avait déjà affirmé : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ». Et Il a ajouté : « Nul ne vient au Père que par moi ».

En d’autres termes, Il prétend que nul ne peut connaître le Dieu véritable et, ainsi, jouir de la vie éternelle, sans passer par Lui, Jésus ! Question légitime : était-Il en mesure de prouver Ses affirmations, si radicales ?

En effet, si Jésus a raison, alors les autres maîtres religieux, voire de nombreux anciens de clans, doivent avoir tort, car avec de telles déclarations Jésus ne leur laisse aucune place ! Dans Jean 10 : 8 – 9 Il a déclaré :

« Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands… Moi, je suis la porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ».

Jésus est-il le seul chemin menant à Dieu le Père ? Est-Il la seule Source de la vérité ? Est-Il réellement celui qui, seul, donne la vie éternelle ? Comment le savoir ?

En testant en fait les affirmations de Jésus !

Notre Père qui es aux Cieux
Que ton Nom soit sanctifié
Que ton règne vienne
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd'hui
Notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses
Comme nous pardonnons aussi à ce qui nous ont offensés
Et ne nous soumet pas à la tentation
Mais délivre-nous du mal.
Amen.